• Rando ce mercredi, pour cause de fête de l'ascension.

    Ce jour ressemblait beaucoup à la dernière sortie; pluie incessante, mais moins de vent.

    Sûrement échaudé (par le froid ) la semaine passée, le lieu de départ était plutôt désert.Toutefois, nous étions six!!

    Allait on partir à Vieux-Boucau, comme prévu, de surcroît sans aucun de nos guides?.

    Bien sûr que oui ! seul membre du bureau présent, j'ai décidé de pratiquer la promenade au feeling. Soyons fous !

    Arrivés au bord du lac marin; la photo, que les générations futures contempleront ...cool

    Les six irréductibles:

    Les impénitents !

    Avec un temps pareil, allions nous être seuls? non, un groupe de jeunes paddle-boarders occupait le plan d'eau...

    paddle boarders

    un héron les a longuement observés, n'ayant sûrement jamais vu d'animaux à trois pattes...

    et bien sûr l'incontournable pêcheur tout autant irréductible que nous!

    Les impénitents !

    Direction la plage de Soustons où, au bord du chemin, nous avons admiré ce chêne-liège, travaillé à la façon d'un bonsaî par les tempêtes.

    la photo

    Arrivés sur la plage, encore des jeunes qui s'amusent... ah tiens il y a aussi quelqu'un qui bosse yes

    tractopelle et surfeurs

    Puis nous avons longé le bord de mer et traversé le courant, face au vent du nord, pour rejoindre la plage de Vieux-Boucau...

    face au vent

    Une question me taraude: qu'est devenu le l'emblématique Captain bar, qui fût autrefois le seul restaurant de la plage?

    Après les tempêtes à répétitions de cet hiver, ses fondations avaient quasiment été mises à nu. Des milliers de mètres cube de sable ont été apportès à hauteur de la terrasse sur une dizaine de mètres; il n'y aura donc plus de descente directe à la plage.

    le captain bar

    Retour par les villas longeant le golf miniature, difficile pour Fatima qui avait eu la bonne idée (selon elle) de remplir un sac de coquillages. Après l'avoir porté sur la tête, à l'africaine, Marie Claude a partagée son effort; un tel trésor!  

     Le coin détente 

    Mes camarades de l'arrière-garde étant absents, j'ai cogité, seul, sur la marche du monde.

    Ce monde où le chikungugya gagne du terrain, où les avions se crashent sans raison, où les valses Hollandaises à mille temps, n'ont qu'un temps, où l'on construit des trains plus larges que les rails ! ... où le prix de l'Eurovision...et ... les élections européennes.. et ...

    Que faire?

    Peut être çà, alors!

    l'évolution


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  • Après avoir abandonné l'idée d'aller marcher dans les barthes de Pontonx, en raison des fortes précipitations de ces derniers jours, pensant à juste raison que les chemins devaient y être très boueux; nous avons pensé que la météo serait plus clémente au bord de la mer et les chemins plus praticables.

    Rendez-vous est donné sur le parking de la plage de Saint-Girons. Ciel menaçant, vent assez fort et pas très chaud mais il en faut plus pour démoraliser un parchemineur. A peine parti que la pluie s'invitait, nous obligeant à sortir les équipements ad hoc.

    photo

    Nous serons plus à l'abri dans la forêt pensions-nous.  Mais  surprise, les bûcherons étaient passés par là, déforestant d'énormes étendues. Paysage méconnaissable que cette terre à nue, laissant paraître les mouvements du terrain que la forêt, lorsqu'elle est présente, dissimule.

    dans la coupe

    Pas le moindre arbrisseau pour nous abriter sur les deux premiers kilomètres et la pluie et le vent qui soufflait. 

    Nous étions 20 pour cette sortie en ce "bel après-midi de printemps" mais pas un ne rebroussa chemin.

    Nous avons tout de même fini par atteindre la forêt avec des très jolis bois de feuillus et enfin marcher à l'abri du vent.

    le groupe

    Comme me disait un vieux marcheur,  rencontré sur les sentiers bien arrosés de Bretagne, la marche sous la pluie ce n'est pas anodin. Pour continuer il faut arriver à être en communion avec les éléments et être en accord avec soi. Cela peut être une révélation où l'on s'aperçoit que l'on éprouve du plaisir à quelque chose que l'on croyait détester.

    Pour finir cette randonnée, nous étions quelques uns à franchir la dune pour voir la mer, sentir les embruns portés par le vent et respirer l'air du large. Extrêmement vivifiant !!!!

     l'océan

    Les vagues par milliers naissent, dansent et meurent,

    C'est la grande leçon de cette immensité;

    Depuis le premier jour, et pour l'éternité,

    Les hommes sont mortels, mais les choses demeurent.

    J.M.Jouaret


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  • En ce jeudi était le retour du beau temps, un ciel bleu immaculé, mais un vent de nord-est s'activant par fortes rafales, faisant ployer les jeunes pousses de seigle, mais évidemment pas le parchemineur.

    groupe dans le champ

    Nous avions rendez-vous à "labaste" où, sous la direction de Bernard, le maitre des lieux, nous avons effectué un parcours un peu modifié par rapport aux précédents.

    bernard explique

    10 km de cheminement au milieu des pins et des beaux airials, avec leurs anciennes demeures.

    demeure et son airial

    Une jeune huppe orpheline n'a pas voulu que l'on lui trouve une famille d'accueil; nous l'avons donc laissée à son triste sort.

    la huppe

    Mais la nouveauté du jour, et je vous préviens promeneurs: il vous faudra respecter "le code du chemin"!

    Le groupe a été très ralenti dans sa progression, au moment où, confronté à une circulation alternée, la moitié du groupe devait revenir pendant que l'autre partait et vice-versa

    photo

    Je ne dirais pas que cette sortie était merveilleuse, mais compte tenu de la réception à base de grands plats de merveilles, on serait tenté d'associer ce qualificatif !

    la réception

    Dieu bénit cette famille chez qui le pèlerin trouvera toujours le gite et le couvert.

    L'amitié règne au sein du groupe, n'y voyez donc là strictement rien d'autre !

    l'amitié

    Et les participants, vous voulez les voir? et bien voila! à signaler toutefois: le premier comptage donnait 29, le second 30 et le dernier 31 !

    le groupe

    La photo du jour :

    Parti à la découverte de la ville éternelle, 6 parchemineurs sont à Rome, alors qu'ici, deux sont arums.

    arums


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  • J'en vois certains qui ont déjà les yeux qui brillent et qui se disent: " Comme on le connait, il va nous faire un diapo avec de superbes gonzesses, genre Play-Boy "

    Pas du tout! un diapo certes, oui avec des superbes poules, mais à plumes !

    Ce mercredi faisait partie des sorties sur la journée, trop rare au goût de beaucoup, où nous enrichissons notre esprit, tout en cultivant notre forme.

    Nous avions rendez-vous au conservatoire avicole de Puyobreau.

    l'entrée

    Un parc très arboré en feuillus denses, au vert éclatant, conséquence d'un terrain très humide enrichi en permanence par les déjections des volatiles. Et surprise, un arbre impressionnant, inconnu de tous, 4.5m de circonférence! séculaire dirons beaucoup,

     Et bien non, à peine 39ans! il s'agit d'un "Pterocarya du Caucase" arbre à croissance très rapide mais d'une qualité inexploitable; bois léger et friable.

    photo arbre

    Monsieur et Madame DUBUC ont créés ce magnifique espace, dans leur passion de la nature et de sa diversité, a contrario de la tendance à vouloir créer des races au rapport certain. Ils font partie de ces gens qu'un jour les générations futures remercieront avec un profond respect.

    Monsieur Dubuc

    Ils collectionnent donc, surtout, toutes les races de poules qui n'ont pas disparues, plus de 130, et assurent leur survie en perpétuant chaque espèce.

    description du lieu

    Un diaporama, non exhaustif, de la collection à visionner dans l'onglet: "Savoir plus découvertes"

     Malgré l'enthousiasme général, l'heure et les estomacs appelaient à se restaurer, ce que nous fîmes au lac de Christus.

    tous à table

    Puis la rando, avec un départ au joli plan d'eau des Abesses.

    photo

    9 km à parcourir, avec un but; le plus que séculaire chêne de Nerthe, qui a perdu, avec une grosse branche, une partie de sa superbe ...

    le chêne

    il n'en demeure pas moins que, malgré ses 700 ans, les femmes l'embrassent avec toujours autant de passion !

    ce sera la ...

    Photo du jour :

    bise arbre


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  • Lors de notre sortie à Lévignacq, où certains, à la vue d'un magnolia soulangeana, se sont écriés:" oh le beau tulipier!", j'avais dit que lorsque les vrais tulipiers seront en fleurs je vous montrerai la différence.

    Le magnolia soulangeana est un hybride, croisement de Magnolia denudata et Magnolia liliiflora, au printemps, avant les feuilles il se couvre de fleurs ressemblant à des tulipes.

    photo

    A contrario, le vrai tulipier (liriodendron tulipifera) produit des tulipes, très rustiques, seulement après l'apparition des feuilles. Il est originaire de Virginie d'où son appellation : Tulipier de Virginie. L'exemplaire ci-dessous est présent dans ma propriété.

    Le tulipier


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