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La sortie de ce jeudi 29 janvier a été annulée, une pluie incessante et des vents parfois violents ont contraint même les plus motivés à "cheminée" autour du feu !
La faute à qui? sûrement pas à eux quand même!
"Dans le désert de l'Arizona, un homme, cramponné à une planche, est emporté par le courant d'un fleuve en crue.
A un moment, il passe devant une colline où une douzaine d'Indiens sont en train de danser.
Vous allez arrêter vos singeries, leur crie-t-il.
Vous ne croyez pas que de la pluie vous en avez assez fait tomber comme ça?"votre commentaire
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Vendredi 23 janvier, notre site a enregistré son 50000 ème visiteur.
Un grand merci à tous pour votre confiance, particulièrement à tous les internautes, nombreux, non membres de l'asso, qui nous font l'honneur de leurs visites !
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Ce jeudi 22 janvier, il ne faisait pas très chaud, un brouillard bas et épais recouvrait campagnes et villages; ne nous empêchant pas, toutefois, de partir pour Onesse.
Encore 38 parchemineurs, on sent que le groupe s'érode moins facilement que les années précédentes sous les assauts des intempéries.
Un"coulin", c'est ce petit ruisseau qui serpente entre de profonds talwegs, lesquels dénués de toute végétation haute donnent une impression de basse montagne.
Ce cours d'eau est navigable ... mais seulement par des petits bateaux en papier !
Un coup l'autre, c'est cette bizarre impression à la vue de ces étendues où la végétation semble avoir disparu. Les pins absents, quelques chênes rachitiques, donnent une impression de terre brulée...
Que sont nos landes devenus?
Heureusement certains propriétaires repeuplent leur parcelle ...
Bien que cheminant le plus souvent à découvert, quelques passages se sont avérés plus délicat à négocier ...
Pendant notre dernière halte dans un petit hameau, j'ai aperçu cette inscription sans pouvoir y donner la moindre interprétation...
Lors de la halte précédente, longeant une haie de taillis, des éclats de voix féminins m'ont interpellés, je m'interrogeais? mais laissons cela, car comme disent les locaux: "Onessois qui mal y pense"
Enfin vers 16:30 le soleil daigna paraître, découvrant par la même une bonne partie de ciel bleu.
La photo de la semaine :
Le parcours du jour :
Une précision: les performances données sont celles des touts premiers, les derniers ayant pointés leur nez 25 mn plus tard.
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il était une fois....41 vaillants marcheurs qui décidèrent de se dégourdir les jambes par un bel après-midi (couvert mais 15 ° C au thermomètre) de Janvier. La boucle qu'ils parcoururent se déployait au nord-nord-est du village de Lévignacq.
Mais avant de partir arrêtons nous deux minutes sur ce nom. La terminaison de ce nom de village est d'origine celtique (suffixe -acos latinisé en -acum, utilisé du IIème au IVème siècle) et signifie généralement "domaine de ", (d'après B. Fenie) et de citer un certain Levinius. Ph.Soucieux renvoie à l'éventuelle présence de vigne (le ruisseau porte le même nom) ce qui n'est peut-être pas évident même si cette culture a pu se développer autrefois. La question reste ouverte. En tous cas l'église est magnifique, les parties les plus anciennes dateraient des XIIème et XIIIème siècles. Le presbytère, d' architecture locale, est remarquable aussi.
Tout au plaisir de nous retrouver nous sommes parfois passés devant sans voir ces détails architecturaux.Mais laissons là ces considérations, nous voilà partis.
Prenant la jolie rue avec ses maisons typiques qui monte vers le cimetière ,nous surplombons le village depuis un joli point de vue.
Les chemins de forêts sont beaux et nous les empruntons jusqu'à rejoindre la piste cyclable qui va jusqu'à Uza.
Carrefour un peu dangereux à la traversée de la D41 puis nous nous enfonçons dans la pinède.
Il faut dire que nous sommes accompagnés de main de maître par Jany qui a reconnu le parcours à l'avance et nous dirige sans hésitation.
Nous voici parvenus au ruisseau de la"Coste-heinse" et je ne résiste pas au plaisir de vous dire que ce nom signifie "côte profonde" (cette fois c'est d'après Bernard). De fait le ruisseau a profondément entaillé le plateau sableux et une côte assez raide permet de descendre au bord de l'eau et remonter de l'autre côté. Dans la montée, sur la droite, un curieux lavoir arrête notre attention.
Qui pouvait venir laver son linge dans un endroit si reculé? Peut-être les habitants de Rèchou, airial que l'on devine à travers les arbres et autour duquel nous tournons pour rejoindre l'airial de Lartigaou où veille un gros chien.
Après avoir retraversé la D 41 nous ne nous arrêtons pas au niveau de l'airial de Barzague (-ague=aqua en latin, encore une histoire d'eau) qui cache un étonnant très vieux châtaigner. Seul le photographe a été autorisé à s'en approcher car il est dans une propriété privée. Alors, profitez de la photo!
Après avoir traversé le ruisseau de Barzague, nous débouchons sur la pisciculture de Lévignacq qui ressemble à celle de notre village (Castets).
Les mêmes sentinelles veillent aux poissons.
A 16H30, nous étions de retour aux voitures, ayant parcouru 11km300, dépensé 745 calories et fait 16210 pas ! épreuve qu'ont brillamment surmontée nos deux "nouvelles" Monique et son amie Christine.
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Les fêtes sont passées, les enfants ont repris le chemin de l'école et les Par Chemins se retrouvent pour randonner. La fin d'année est toujours un moment un peu difficile pour le foie, la ligne et la forme physique. C'est peut-être pour cela que la reprise de la marche est attendue. Pour se convaincre que l'on applique les bonnes résolutions prises sous le gui.
La première sortie de l'année c'est l'occasion de se souhaiter les vœux de vive voix. Espérons qu'ils soient tous exhaussés.
Nous étions 53 pour cette première marche de l'exercice 2015.
Circuit d'une dizaine de kms qui nous amené de la Maison de la Nature, rue du Bousquet puis le petit sentier qui rejoint le ruisseau avec quelques passages un peu compliqués.
Après avoir longé le ruisseau sur un chemin boueux, il fallait franchir la passerelle que certains appréhendaient parce qu'elle est très glissante. Heureusement, des âmes bien intentionnées l'ont sécurisée en fixant du grillage sur les planches pour les rendre moins glissantes.
Le reste du trajet le long de l'autoroute que l'on franchit à hauteur du premier pont pour rejoindre Billaranque et revenir sur le village se fait sur de très beaux chemins.
Après la marche, nous nous sommes retrouvés à la Maison de la Nature pour fêter les Rois et déguster quelques galettes arrosées du traditionnel cidre. Moment sympathique et chaleureux très apprécié. Cette année, c'était une première au siège de l'association et il a fallu se tasser un peu pour contenir tout le monde.
Nous étions une bonne soixantaine et nous en avons profité pour le faire le point sur les animations et les sorties que nous ferons au cours de cette année.
Le parcours du jour :
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