• Lundi 24 septembre:

     

     Le départ...

    depart

    Aujourd'hui, nous avons les jambes aussi raides que la sculpture...

    sculpture

    Arrêt dans une buvette au bord de la route. Là, les filles ont dû laisser tous leurs sous-vêtements, pour que nous puissions nous désaltérer !

    photo

    Et quand même 26 km effectués !

     


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  • Dimanche 23 septembre:

    6:22. Arrivée au site de départ

    "La posada de Roncesvales"

    Arrivée au gite de départ...

    6:40: quelques vitamines...

    tonique

    La photo traditionnelle au départ du chemin...

    départ...

    et le départ:

    A savoir : Ils sont cinq à randonner: Denyse, Françoise, Nicole, Gégée et Daniel.

    Une oeuvre originale sur le chemin...

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    Après quelques Kms de marche, il est temps de faire une pause. C'est l'heure du déjeuner.

    Après l'effort le réconfort...et pause à l'ombre sur le chemin.

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    De l'eau coule encore sous le pont...

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    De RONCEVAUX à ZUBIRI

    23 km au final...et un repos bienvenu.


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  • Cette année encore les Par Chemins se sont lancés dans l'organisation d'une randonnée nocturne. Pour éviter la lassitude on a changé de circuit et la randonnée est devenue semi-nocturne.

    Quelques surprises nous attendaient. A quatre jours de la randonnée, le circuit initialement prévu est rendu impraticable par d'importantes chutes de pluie. Il faut très vite tracer un nouvel itinéraire qui se fera par des chemins peu fréquentés et qu'il faudra donc sécuriser avant le départ.
    En ce vendredi 20 juillet tout est prêt, les chemins sont propres, le matériel est en place dans l'airial de Rouncaou. Cette fois c'est le mauvais temps qui s'invite. Le départ est prévu à 19h00, il est 18h30 et il pleut.
    Une centaine d'inscriptions ont été enregistrées mais les caprices de la météo ont limité le nombre de participants, 65
    personnes sont au départ. Les locaux se sont désistés mais les vacanciers sont venus.
    Après un grand moment d'incertitude, le ciel se dévoile assez rapidement pour laisser place à un beau soleil.
    Tout ce petit monde rassemblé sur la place de la mairie est conduit sur les lieux du départ à l'arrière de la ferme auberge. A ce sujet un grand merci à Monsieur LESCA qui a nettoyé un grand morceau de terrain pour nous permettre de ranger les voitures.
     

    départ

     

    Avec un tout petit retard sur l'horaire prévu le départ est donné.

    Nous marchons sous un soleil radieux pour rejoindre  l'airial de Rouncaou où nous sommes attendus pour le repas. Dans ce magnifique espace, en pleine forêt, les tables sont dressées sous les grands chênes. En cuisine toute l'équipe est sur le pied de guerre. Des planchas s'échappent d'alléchants fumets qui viennent aiguiser les appétits de nos marcheurs. Un bar est ouvert et les boissons fraiches sont les bienvenues après la marche en plein soleil.
    Tout le monde se fait servir et s'installe autour des tables sous les grands chênes. C'est dans une ambiance conviviale, sympathique et vraiment champêtre que de déroule le repas.
     

    le repas

     
    La nuit est tombée, les comédiens de la troupe Art Sans Cible tout de blanc vêtus nous ont rejoint et après s'être restaurés sont allés se placer un peu plus loin sous un bouquet d'arbres où des lumières leur ont été installées.
    Le repas terminé, les marcheurs, prenant soin d'amener leurs bancs avec eux pour être confortablement installés, sont invités à rejoindre les comédiens.
     

    le public

     
    Un moment très original de théâtre en plein air où la troupe  nous présente une version revisitée de Carmen de Bizet avec quelques airs chantés par le ténor de la formation.
     

    les comédiens

     
    Le spectacle terminé, nous reprenons la marche, dans l'obscurité cette fois
    C'est pour rendre cette escapade nocturne le plus agréable possible que les chemins  ont été balisés de bâtons lumineux,  les  flaques d'eau délimitées, les ajoncs et autres épineux soigneusement éliminés pour éviter tout risque d'accident et épargner les jambes dénudées.La marche dans cette nuit sans lune ou l'obscurité exacerbe nos sens, nous fait perdre la notion de lieu et nous découvrons de nouvelles sensations.
    Nous approchons de la ferme-auberge LESCA, notre point de départ  lorsqu'une une petite pluie fine vient ponctuer notre.
    parcours.
    A l'arrivée la troupe de théâtre, bravant la pluie, nous attend pour quelques saynètes improvisées, révélant la capacité des acteurs a imaginer textes et mises en scène selon des thèmes choisis par les marcheurs et tirés au sort.
     La soirée est bien avancée, un rafraichissement offert par l’association clôturera cette bien agréable soirée avant que chacun ne reprenne le chemin du retour.
     

    pot de fin

     

     
    Un grand merci à Thérèse et Philippe qui nous ont si gentiment accueilli sur leur propriété et mis à notre disposition le magnifique airial de Rouncaou et les locaux qui ont très largement contribué à la réussite de cette soirée.

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  • Au petit matin de ce samedi 16 juin, 68 parchemins et sympathisants se retrouvent sur la place de la Mairie de Castets pour monter dans le bus (et quel bus! à deux étages!). Voyage sans problème avec toutefois une surprise: notre chauffeur, Christophe, nous a apporté tout au long du trajet de nombreuses informations, historiques, touristiques, géographiques...rendant ce voyage encore plus passionnant.

    Arrivés à Saint Lary, où deux autres participants nous rejoignent, nous découvrons tout d'abord une spécialité locale: le gâteau à la broche. La personne qui nous accueille, après avoir pris soin de préparer un beau panier pour la dégustation, confectionnait devant nous le fameux gâteau.

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    Avec une louche à long manche elle versait un mince filet de pâte, fabriquée avec des œufs, de la farine du beurre et du sucre, sur un moyeux  embroché et tournant devant une source de chaleur. Bien sûr, le foyer électrique a remplacé le bon vieux feu de bois d'antan et le moteur électrique, la manivelle .L'allure "hérissée" est au premier abord surprenant mais le goût délicieux. Quelques un se sont laissé tenter par quelques petites emplettes.

    En sortant de l'atelier du gâteau, nous sommes passés par le marché de producteurs de Saint Lary. Miel, cerises, charcuteries fromages des Pyrénées (bien sûr!)... de quoi améliorer l'ordinaire de nos piques niques.

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    Après une montée que certains ont trouvée vertigineuse (!!) nous nous arrêtons au bord du Lac d'Oredon. Le spectacle est déjà très beau. le soleil au rendez vous, les moutons aussi.

    Ce Lac est d'origine glaciaire et couvre 46 hectares. Nous sommes dans le Massif du Néouvielle à 1849m d'altitude, au bord du barrage le plus ancien des Pyrénées (construit entre 1869 et 1884).

    Et déjà le festival des sens commence. La vue: le lac est magnifique avec ses reflets au soleil!..

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    Les rochers, les sapins qui descendent jusqu'au bord de l'eau. Sur les sommets quelques plaques de neige donnent du relief à ce spectacle féérique.

    Au cours de la randonnée ensuite, outre des points de vue à vous couper le souffle...

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    nous découvrons au creux des rochers des fleurs aux couleurs lumineuses.

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    En montant ensuite sur un sentier rocheux, nous longeons des cascades: c'est le "bruit"de la montagne avec dans le lointain les sonnailles des moutons.

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    La montée est parfois raide...

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    pour arriver jusqu'à de grandes plaques de neige au bord du Lac d'Aubert.

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    C'est là que le groupe de "marcheurs" rejoint le groupe des "non marcheurs" montés grâce à la petite navette.

    J'allais oublier un troisième sens qui est également sollicité pendant cette superbe randonnée, l'odeur des pins chauffés au soleil, celle de la terre que nous foulons, l'odeur de l'eau fraîche des cascades peut-être plus subtile, et celle des moutons, que l'on ne peut pas rater!

    Afin d'être à l'heure pour notre rendez vous à Ainsa, nous décidons de redescendre par la petite route, plus rapide que le sentier rocheux. La descente en bus est quelque peu périlleuse, surtout pour ceux qui sont tout à l'avant.

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    Mais notre chauffeur a été remarquable!

    Passage au tunnel de Bielsa (3 km sous la montagne) pour nous retrouver de l'autre côté de Pyrénées et gagner d'un seul coup presque un dizaine de degrés.

    Pour nous remettre de nos émotions, rien de tel qu'un petit apéro à l'hôtel del Meson de Ainsa.

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    Après une bonne nuit dans des petites chambres coquettes, nous voici repartis sur les chemins. Celui-ci est plus "carrossable" que celui d'hier et nous grimpons sur une hauteur qui nous permet de voir le site du vieux Ainsa, à la confluence de deux rivières, le Rio Ara et le Rio Cinca, qui se jettent ensuite dans un lac de barrage qui a enseveli un petit village dans ses eaux. Le clocher de ce village est encore visible au dessus de l'eau...

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    c'est la découverte surprenante qu'ont fait les "non-marcheurs" qui n'ont quand même pas résisté au plaisir de se dégourdir les jambes sur 5 ou 6 km au bord de l'eau.

    Nous ne pouvions quand même pas quitter ce bourg d'Ainsa chargé d'histoire et qui nous avait si bien reçu sans faire une dernière halte au sommet du bourg médiéval. Tout d'abord, visite du musée où nous avons fait plus ample connaissance avec le Gypaete barbu: sa vie, ses petites habitudes. Puis nous avons pu le voir ainsi que quelques uns de ses cousins, vivants à travers un tunnel bien aménagé.

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    Ensuite, après une photo de groupe...

    le groupe

    pour immortaliser ce voyage, nous avons découvert les ruelles anciennes du village et son grand clocher. Quatre énormes cloches y sonnent (demandez à Brigitte ce qu'elle en pense!). Rien à voir avec les sonnailles chantantes de nos moutons de l'alpage....

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    Retour dans nos Landes tardif mais les yeux pleins de beaux paysages, les oreilles bourdonnantes de sons, le goût n'a pas été en reste avec des repas au resto très bons, et surtout le cœur plein d'amitié.

    Merci aux organisateurs qui se reconnaîtront!


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  • Sur la piste des 3 etché

    " Il s’agit d’un évènement dont le concept est innovant et original, inspiré d’une histoire vécue dans les années 1955 à MAULEON LICHARRE (64).
    L’objectif de cette 2ème édition est d’aller remettre l’espadrille d’honneur « 3 Etché » (sculpture sur bois) à l’école vainqueur du concours de dessin qui servira d’affiche officielle lors de l’inauguration officielle du fronton à CONAKRY.
    Nous effectuerons ce périple à pied, à raison de 30 km par jour (environ) en nous arrêtant chaque jour dans une ville étape pour faire la promotion et la vente de produits gastronomiques du Pays Basque et de l’espadrille en particulier et ainsi récolter des fonds.
    Ces fonds seront destinés à aider les jeunes Guinéens à s’insérer dans la vie socio-professionnelle et économique par l’éducation et la pratique du sport et la pelote basque en particulier, afin qu’ils restent dans leur pays d’origine, grâce à la construction d’un fronton mur à gauche et d’un pôle santé."

    Les 3 Etché...

    Des randonneurs d'une grande générosité

    La ville étape de ce lundi 4 juin était Castets-des-Landes. Quelques volontaires des Par chemins les ont accompagnés dans les derniers kilomètres, de "chanchon"...

    Des randonneurs d'une grande générosité

    à Castets

    Des randonneurs d'une grande générosité

    Le maire de Castets, Philippe Mouhel, les a ensuite accueillis devant le cinéma, où ils se sont installés pour proposer la vente de produits gastronomiques du Pays Basque et de l’espadrille en particulier.

    photo

    Ils vont poursuivre leur périple, ravis de l'accueil local et des ventes réalisées.


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