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Par Singer le 20 Juin 2013 à 19:22
comme disent nos amis Anglais.
L'Anglais est malin, depuis des décennies, tout en affirmant le contraire, il se bat contre une vraie union européenne, la monnaie unique etc ...! et pourtant, insidieusement, il est en train de réussir l'Europe climatique. Bientôt sur notre continent vous n'aurez plus le choix qu'entre le crachin, quelques averses et de timides éclaircies. Un vrai temps d'Anglais quoi ! Profitez en pour vendre, tant qu'il est temps, vos articles de plage sur le Bon coin !
Pourvu que demain on roule pas à gauche
Il est 13h30, notre guide, qui en éclaireur a pris cette photo, est seul sur le parking, nous n'irons pas non plus à Pouillon au lac de Luc ...
Troisième sortie sur un site inédit annulée, après Monfort et Peyrehorade.
Il est vrai que certains parchemineurs auraient pu prendre la route, même lorsqu'il pleut à verses ils ne sont pas mouillés
... incroyable non ?
Et si Daniel nous racontait une histoire? oui ! allez c'est parti ...
Deux "pépés" GERARD et AMEDEE, sont assis dans le parc:
Gérard dit: "J'ai une folle envie de glace"
Amédée:"Je vais en chercher, que veux-tu ?"
"Deux chocolat, et toi ?"
"Moi, je prendrai deux vanille"
Gérard réplique: "Il vaut mieux que tu le notes"
"Mais non, le camion de glaces est juste là, devant !"
"Note-le, je te dis que tu vas oublier !"
"Non, non, je n'oublierai rien !"
Amédée part en grommelant, "deux chocolat, deux vanille... deux ch…"
Après un bon quart d'heure, Amédée revient avec deux saucisses et deux cornets de frites bien dorées !!!!!!!!!!
Gérard lui dit: "Et où est la moutarde ?
"Bon sang, je l'ai oubliée !"
"Tu vois, répond Gérard, je te l'avais bien dit de le noter !"
Ne rigolez pas, votre tour est programmé!!!!!!!!!!!!!!
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Par Singer le 7 Juin 2013 à 13:47
10° jeudi dernier et 7 parchemineurs, aujourd'hui 27° et 30 parchemineurs. La température monte, le parchemineur croît.
Démarrer une sortie sous un ciel d'azur aussi limpide était assez exaltant, surtout pour effectuer notre parcours le plus beau, celui des 3 ruisseaux.
Une petite inquiétude; compte tenu des pluies incessantes de ces derniers jours, et si nos 3 ruisseaux étaient devenus 4 à l'instar de nos glorieux mousquetaires?
Départ classique par "Les viviers de France" ...
puis rapidement nous voici à découvert, plus d'arbres et là vraiment nous sentons la brûlure du soleil ...
et soudainement, plus de chemins, plus d'indicateurs ! ... on tente de passer à travers les déchets de bois, laissant beaucoup dubitatifs.
Du vert au loin, nous arrivons au bord de l'Escourrion pour une détente bienvenue ! l'endroit est superbe et rafraichissant ...
Non, Patrick non, cette eau n'est pas miraculeuse, inutile d'en mettre sur ton crane, tes cheveux ne repousserons pas !
Plus loin une parchemineuse essaie de plonger, ouf on l'a arrêtée à temps. Laurence, un bain oui, mais pas habillée tout de même!
Jany se prend pour un castor et veut construire un barrage, l'analogie s'arrête là, il se sert de ses mains !
Un nouvelle fois nous allons, après une montée assez ardue, nous retrouver en zone désertique et à nouveau un peu de fraicheur à Couyunte. Fatima, toujours à l'affût a encore trouvée des girolles ...
le groupe s'étire de plus en plus, 13 km avec cette chaleur les jambes deviennent lourdes.
Corrine en pleine reconstruction éprouve des difficultés. Plus tard sa cyclo-partner ira la récupérer en voiture.
Au final, nous sommes toujours 30 et les ruisseaux 3 !
La photo du jour
Le geste est conséquent, l'approche insolite ... mais que signifie pigne?
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Par Téner le 1 Juin 2013 à 18:40
Plutôt affronter le mauvais temps que de rester un jour de plus coincés à la maison. C'est ce qu'ont du se dire les 8 "parchemineurs" qui en ce jeudi 30 mai sont venus marcher sur le circuit de Lévignacq. Ce circuit qui part de l'église, nous fait passer prés de la pisciculture pour nous amener jusqu'au quartier "Louise" et revenir au village sur une distance de 9km environ, n'est pas une première. Ce qui l'est par contre c'est de le faire entièrement sous la pluie.
Je crois que nous avions là des parchemineurs "water résistant". Par contre, je ne parlerai pas du paysage car sous le pancho et avec les flaques d'eau qu'il faut éviter, on n'a pas trop le loisir de l'admirer.
Le but c'était de se donner de l'exercice et de se retrouver. Marcher sous la pluie donne un caractère particulier à la balade et l'ambiance dans le groupe est différente que sous un grand soleil. Plus intime, plus chaleureuse.
Pour mettre un peu de baume dans cette grisaille rappelons que la pluie c'est la vie. Et puis ce n'est pas si moche que çà puisqu'elle inspire le poête, le peintre et le chanteur.
* * * * * *
Vous n'aurez pas de photos aujourd'hui, les photographes, dont votre serviteur, sont restés au chaud (honte à eux )
Ce mois de mai est donc désastreux, car nous ne pouvons jamais prévoir ce que l'on va faire; or un individu, depuis des années, affirme haut et fort le contraire!
Aidez-nous à le mettre hors d'état de nuire !
Singer
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Par Téner le 24 Mai 2013 à 13:06
Depuis le début du mois de Mai il fait un temps exécrable. Du jamais vu; ce que tout le monde dit. Il pleut, il fait froid, il faut rallumer le chauffage. Un temps à ne pas mettre un chien dehors et encore moins un marcheur ....
Mais aujourd'hui les dieux de la randonnée étaient avec Les Par Chemins. Pas une goutte de pluie et même un ciel complètement dégagé en fin de randonnée.
Nous étions 12 heureux pour faire ce circuit du Chemin de Pitéou à Léon. Heureux de nous retrouver, de pouvoir enfin mettre le nez dehors et nous dégourdir les jambes car cela faisait un mois que nous n'avions pas marché.
Le guide officiel étant absent, c'est aux indications de la carte qu'il a fallu se fier. Mais voilà, entre le tracé de la carte et la réalité du terrain il y a quelquefois de quoi y perdre un peu son latin. Avec un peu de mémoire visuelle, un peu de connaissance du terrain et un peu de navigation à l'estime nous avons pu suivre l'itinéraire sans nous égarer.
Les fortes précipitations de ces derniers jours ont laissé de grosses flaques d'eau dans les chemins.Mais comme "à malheur quelque chose est bon", la pluie faisant pousser les champignons; quelques girolles ont été trouvées sur le bord du chemin. Il y a même eu une poussée de cèpes nous a-t-on dit. Pour les amateurs de champignons voilà une excellent indication pour occuper les jours à venir.
Au bac désensableur nous avons pu remarquer que le niveau de l'eau était haut et le débit de La Palue important.
Nous étions à mi-chemin et le retour le long du lac est toujours un moment agréable. De beaux paysages entre lac et forêt qui respirent la tranquillité, la quiétude...
et incitent à ralentir le pas pour profiter du moment!
Arrivés à découvert sur le plage de Léon, le vent du nord qui traversait la lac faisant le bonheur des véliplanchistes, nous cinglait le visage. Il faut dire aussi qu'il a eu pour effet de dégager le ciel.
Le retour aux voitures s'est fait sous un ciel sans nuage et avec un soleil radieux.
La photo de la semaine
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Par Singer le 16 Mai 2013 à 20:04
Nous n'irons pas à Monfort en Chalosse cet après-midi. La pluie, le vent et le froid, sans parler de la boue que nous aurions trouvée là-bas, ont fait que nous sommes restés au chaud, toutefois...
Une dame ultra chic, BCBG et tout et tout, arrive en limousine et en urgence chez son médecin de Neuilly… Elle passe devant tout le monde en hurlant :- Hubert, Hubert, il faut que vous me receviez immédiatement.
Le Docteur, tout aussi BCBG s'excuse auprès de ses autres patients, fait entrer son amie dans son cabinet.
- Mais ma chère Alix-Anne, que vous arrive-t-il donc pour que vous hurliez ainsi ?
- Ah Hubert, je me suis fait piquer par une guêpe !!!
- Ah bon, je vais voir cela. Où avez-vous été piquée ?
- Ah non Hubert, je vous en supplie ne me demandez pas cela.
Si je vous le dis je serai la risée de tout Neuilly. Je ne peux absolument pas vous désigner l'endroit où j'ai été piquée. Demandez-moi n'importe quoi mais pas cela.
- Mais Alix-Anne, je suis médecin, tenu par le secret professionnel. Et de plus ma chère, nous sommes amis. Vous me connaissez. Jamais je ne parle travail à mes amis. Je ne dirai rien vous concernant, croyez-moi.
Un peu de courage chère amie, racontez-moi où cette méchante guête vous a piquée ?
- Bon Hubert, mais vous me promettez de ne rien dire à personne ? Même pas à votre femme ? Parce que je ne veux pas devenir la honte de Neuilly et l'objet de moqueries de mes amis !!! - Promis juré ! allez-y, dites-moi.
Et la brave Alix-Anne se penche vers l'oreille du médecin et lui dit tout bas, mais vraiment tout bas :
- Au rayon fruits et légumes de chez Lidl.
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Par Singer le 8 Mai 2013 à 17:49
des sources à la sourcellerie
Cette sortie entrait dans le cadre des animations du "Printemps des Landes" sous l'égide de la Communauté des communes, la matinée étant organisée conjointement par "Landes bruyère animation" et "Les par chemins".
Rendez-vous était donné à la salle de cinéma "le kursaal".
Après un petit café accompagné de biscuits pour accueillir tout le monde ...
et en route pour cette boucle de 9km500 à la découverte de certaines des sources dont vous a parlé Roger dans le film précédent.
Ensuite et tout au long du parcours, c'est Claire, la "pasionaria" du patrimoine local, qui affinera et agrémentera ce que nous avons déjà appris de ces sources.
Toutefois, lorsque nous étions à la fontaine Saint-Pierre, et relevant que nos sources n'avaient pas de vertus thérapeutiques connues, elle nous parla d'une source chez nos voisins de Saint-Michel, fontaine St Antoine, connue elle, comme curative des maladies de peau, surtout le pityriasis.
Une anecdote: certains prétendant qu'elle soignait aussi les hémorroïdes, un Castésien bien connu souffrant de cette affection est allé carrément prendre un bain de siège. Quelques jours après il avait retrouvé un anus de bébé. Cependant on ne nous dit pas si les gens qui ont bu l'eau par la suite ont été guéris ou au contraire tombés malades.
Maintenant nous allons entrer dans la sourcellerie, pratique consistant à découvrir les nappes d'eau enfouies dans le sous-sol.
Et c'est là qu'intervient notre sourcière locale; la plus Landaise d'entre tous, Maryse ...
bien des propriétaires lui doivent d'avoir creusé un puit précisément à l'endroit indiqué par son pendule.
Par la suite elle a fait essayer les volontaires curieux de savoir s'ils possédaient ce don.
Effectivement quelques uns ont vu le pendule s'agiter. En fait il semblerait que 40° de la population le détienne, dixit Monsieur Labit dans le film que nous avons visionné au retour et qui clôturait la matinée.
Dans ce film il nous montrait, avec une rigoureuse précision, la recherche, pas si simple, de l'emplacement précis de la nappe la plus importante, généralement au croisement de deux veines d'eau.
Tout objet, matière et êtres vivants, qui composent la planète ne sont qu' une association d'atomes, lesquels émettent un champ magnétique, les 40° d'individus concernés font intervenir leur propre émission de champ pour connaitre, avec un apprentissage préalable, une imprégnation dans leur esprit de leur désir; position de la nappe, profondeur, débit horaire etc...
Non prouvé scientifiquement, il semblerait toutefois que cela ne soit plus qu'une question de temps, tant la précision des données recueillies ne peut être contestée.
Comme d'aucun le signalait à la sortie de la salle: "Voilà une journée où l'on est moins con à l'arrivée qu'au départ"
Mais vous le savez maintenant; le parchemineur cultive aussi son esprit.
Anima sana in corpore sano ... et plus si affinités
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Par Téner le 3 Mai 2013 à 13:03
Nous étions 18 pour cette première à LALUQUE sur un circuit que nous avait préparé, repéré et fléché notre ami Jean-Pierre.
C'était aussi une première cette forte averse qui s'est abattue sur nous alors que nous attendions l'heure du départ à Castets. Il en aurait fallu bien plus pour nous décourager. Bien nous en a pris car à peine avions nous parcouru deux kilomètres en direction de Laluque que la pluie cessait et nous retrouvions un ciel plus clément.
La première curiosité de ce circuit nous la trouvons au pied d'un petit escalier. Au premier abord on a l'impression d'avoir à faire à une tombe ou à l'entrée d'un caveau. Un trou rectangulaire aux parois bâties de pierres, surmonté d'une croix et un escalier qui descend à l'intérieur. Il s'agit en fait de la fontaine Saint Jean.
Poursuivant notre route sur cet agréable chemin, Jean-Pierre nous fait remarquer une parcelle fraichement replantée de pins dont la terre est noire. Il s'agit d'un effleurement de lignite. Roche sédimentaire composée de restes fossiles de plantes, le lignite était utilisé comme combustible. A proximité, envahis par la végétation, nous remarquons les vestiges de ce qui a du être le site d'exploitation du lignite. Un étang remplace maintenant la mine à ciel ouvert. Ce minerai exploité depuis le XVII ème siècle alimentait les nombreuses forges des Landes. Par la suite il a été utilisé par EDF pour alimenter les centrales électriques thermiques.Le site de Laluque-Larquier était un des sites les plus importants du Sud-Ouest.
La présence de ce minerai incita l'installation d'autres industries. Ce sont des tuileries, briquèteries qui installèrent leurs fours à Laluque. Ces entreprises ne fonctionnent plus depuis bien longtemps. Seule une cheminée et quelques ruines nous rappelle leur existence.
Nous longeons un parc animalier et c'est l'occasion d'une halte pour se désaltérer et observer les animaux.
Sur le chemin du retour nous traversons un quartier aux belles et grandes demeures dans de grands airials avec des chênes magnifiques plusieurs fois centenaires.
Un très beau circuit, riche en vestiges de l'histoire économique et industrielle de Laluque.
Bravo et merci à JPS.
* * * * * *
Lors d'un cours de math, une institutrice demande au petit Paul:
"Paul, sur un fil il y a 6 oiseaux, si tu tires sur un avec ta carabine, combien ils en restent?"
Paul réfléchit et répond: " zéro car quand je tire sur le premier, les autres s'envolent."
L'institutrice dit: " ta réponse n'est pas tout à fait juste mais, j'aime ta façon de penser."
Paul lève le doigt et pose une question à sa maîtresse:
"Trois femmes mangent une glace à la vanille, la première la croque, la deuxième la lèche et la troisième la suce, laquelle est mariée?"
La maitresse rougit légèrement et répond: " je pense celle qui la suce."
Paul dit: " non celle qui porte une alliance, mais j'aime bien votre façon de penser"
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Par Singer le 26 Avril 2013 à 13:37
Voilà une journée qui fleurait bon le printemps, pas un nuage, 25° centigrade, alors avec !
Seulement 14 parchemineurs au départ...
les meilleurs me diriez vous peut être? mais où sont passés les 20 autres habituellement présents. Devant un tel déficit, nous allons créer une commission d'enquète.
Cette sortie que nous pratiquons tous les deux ou trois ans, cette fois nous allons l'effectuer dans l'autre sens, à savoir avec ce fameux tuc en fin de parcours, puisque de surcroît, c'est la difficulté majeure de la journée.
Et c'est effectivement plus agréable, même si d'emblée, digestion débutante, la première côte donne le ton.
Par la suite, redescendant, le parcours gardant sa sinuosité devient très agréable.
Aux alentours du village de Capbreton, une villa nous offrait un superbe rosier déjà bien en fleurs.
Proximité des vacances de Pâques aidant, on sent le vacancier bien présent à la fois sur cours d'eau ...
et sur route.
Et enfin avec la dernière ascension pour arriver sur ce fameux tuc.
Voilà un endroit qui pourrait être vraiment superbe si la végétation était mieux exploité. Effectivement s'offrirait une vue panoramique sur la mer, sur la montagne et sur les 9 églises des villages environnants.
L'ultime descente enfin, celle qui fait du bien au moral.
Mais le thème de la sortie c'était bien : Capbreton, le tuc des 9 clochers?
Nous n'avons vu, ni cap, ni breton et assurément beaucoup plus de cloches que de clochers
La photo de la semaine
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Par Singer le 19 Avril 2013 à 16:44
C'était le thème de la sortie de ce jeudi. 28 parchemineurs et une "guest hiker" étaient présents et motivés malgré le temps pluvieux de la matinée.
Au bout de 2km, surprise: on nous indiquait point d'eau, c'est vrai qu'il ne faisait pas chaud mais quand même ...
de colère Hubert se saisit d'une grosse branche et se mit à taper frénétiquement sur un poteau ? peut-être pensait il faire jaillir l'eau?
Certains lorsque on leur montre quelque chose n'y "voit que du bleu", et bien aujourd'hui, malgré notre recherche, vous n'y verrez que du jaune !
Toutefois, Claire, qui fonce toujours, a découvert à mi-parcours une fleur-tronc ...
voila un spectacle qui nous sidère chaque fois, ce sont les nouveaux bûcherons avec leur engins ultra-modernes débitant des pins comme des rondelles de saucisson.
Puis nous nous engageons sur ce qui est le plus beau parcours de notre village; un chemin sinueux accompagnant les gracieux méandres du ruisseau ...
partie toutefois pas toujours facile d'accès et nécessitant, parfois, le sens de l'équilibre ...
provoquant la chute de votre serviteur (voir photo du jour).
Et la traditionnelle et obligatoire traversée.
Le retour par les Viviers de France, où nous attendait un infernal bruit, strident, venant gâcher un peu notre plaisir. Heureusement le nouveau revêtement de notre nouvelle autoroute offre maintenant un relatif silence très appréciable.
Tiens et le compteur, ah ben oui, 13km avec les taxes !
La photo de la semaine
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Par Téner le 12 Avril 2013 à 12:43
C'était une première sur ce circuit semi-urbain à Saint-Paul-Lès-Dax qui nous était proposé par notre ami Alain L. ( pas Singer). Nous étions 32 à marcher en cet aprés-midi maussade. Partis du bord du lac de Christus, nous avons traversé l'avenue de la résistance pour emprunter un trés agréable chemin bordé de hautes futaies qui, en passant derrière tous les magasins, longe l'avenue pour nous mener au carrefour de La Pince.
Un chemin bordé de grands arbres signifie en général qu'il est très ancien. C'est en effet le cas car nous marchions sur l'ancienne route qui reliait Bordeaux à Hendaye. Napoléon l'a empruntée en 1814 pour se rendre à Bayonne et il a laissé son nom au petit pont fait de briques en éventail et revêtu de gros silex que nous avons franchi.
En arrivant au quartier de la Pince, le circuit devient plus urbain et chemine dans les lotissements avec toutefois de beaux chemins verts et de grandes ravines dont nous n'aurions jamais deviné la présence.
Nous rejoignons la rive apposée du lac pour nous diriger vers la forêt en direction de la rocade. Et c'est là que les choses se sont un peu gâtées. C'est plutôt le temps qui s'est gâté. Un vent froid s'est levé et il pleuvait fort. Impossible d'éviter de se mouiller.
Le mauvais temps et un chantier forestier nous font manquer l'entrée du raccourci et nous voilà le long de la rocade par une pluie battante. Mais il en faut plus que ça pour démoraliser un "Parchemineur". Nous accélérons le pas car il pleut toujours et nous sommes trempés. On parle moins dans les rangs. C'est vrai qu'avec le pancho, la capuche sur le nez et le vacarme des véhicules il n'est pas aisé d'entretenir une conversation. Enfin un chemin dans la forêt, boueux mais qui nous éloigne du bruit de la rocade...
et nous mène au Moulin de Poustagnacq.
C'est une ancienne minoterie devenue un restaurant réputé.
Par un chemin le long du ruisseau nous regagnons le lac de Christus...
et retrouvons les voitures. Heureux de pouvoir enfin se mettre à l'abri.
Agréable randonnée qu'il faudra refaire aux jours meilleurs, dans sa totalité cette fois-ci..
La marche dans ces conditions est un excellent exercice à l'endurcissement à la vie en milieu hostile.
La photo de la semaine :
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Par Singer le 11 Avril 2013 à 11:33
Le diaporama du 1er trimestre est arrivé dans votre diaothèque, il s'agit de : Hiver et contre tout !
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Par Singer le 5 Avril 2013 à 12:22
Surprise ce matin à l'ouverture des volets, un fond d'air à température hivernale et de surcroît il pleuvait.
Voila le genre de journée que beaucoup aurait ou ont consacré à rester un peu plus longtemps à table et à faire une sieste, crapuleuse ou non, un peu plus longue.
A contrario chez les parchemineurs, 13 irréductibles étaient au départ, à croire qu'au fond de leur inconscient quelques pulsions légèrement suicidaires y gravitent.
Et en route pour Tosse, pour la première fois. Certains ne connaissaient pas du tout ce coquet village situé à 6 km de l'océan. Et comme tout voyageur qui traverse Tosse nous avons remarqué, dans son cadre de verdure, l'église de style romano-bysantin.
Remarquable aussi le micro-climat qui y règne, car voir un Washingtonia robusta de cette taille en excellent état, sans parler du Phoenix Canariensis du centre ville, superbe. Il fait sûrement bon vivre à Tosse.
Nous voila partis sur ce tracé de 12km500 sous une faible bruine, quittant les belles villas alentour, pour prendre cette longue piste bordée de profonds fossés.
Et puis, soudain nous comprimes le pourquoi de l'absence de soleil. Ce dernier avait implosé et s'était répandu en des milliards de particules jaunes dans ce champ ...
A mi-parcours le ciel nous a gratifié d'une bonne averse aggravant un peu plus notre marche entre les abondantes flaques d'eau.
Beaucoup de chevaux à Tosse. Ici dans ce pré une petite colonie de superbes juments ...
Le chemin, par endroits, pentu et plus étroit,les fossés devenaient plus herbeux et joliment fleuries, permettant à Viviane d'agrandir sa collection de plantes.
En plus des flaques d'eau, des innombrables mares, parfois un élégant petit ruisseau traversait la piste.
Au retour les jambes de certains(es) étaient très lourdes ... mais quand la satisfaction et la santé sont au bout ...
La photo du jour :
* * * * * *
Jusqu'à aujourd'hui l'accouplement était réservé au règne animal. Or, il se trouve que chez une amie, vous pouvez voir la saillie permanente d'un pin et d'un prunus !
On se demande avec une curiosité croissante à quoi vont ressembler les petits !??
* Je précise que ce cliché n'a absolument pas été retouché !
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Par Singer le 2 Avril 2013 à 12:30
Vous aimez vos enfants, vous aussi je suppose; alors vous devez absolument visionner cette vidéo:
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Par Téner le 30 Mars 2013 à 17:42
La sortie "Tulipes" comme nous la baptisons est toujours très prisée. Aussi, ce jeudi nous étions 30 pour aller nous régaler du magnifique spectacle qu'offrent les champs de tulipes.
La tulipe est une très belle fleur. Gracieuse aux couleurs chatoyantes, elle s'épanouit juste au début du printemps comme pour nous aider à lutter contre la morosité de l'hiver.
Mais d'où nous vient cette belle? Elle fut introduite en Europe par Augier Ghislain de Busbecq, savant, diplomate, botaniste et naturaliste belge.
Voici son histoire:
La tulipe
C’est à Andrinople, en 1554, lors de son premier voyage, que Busbecq découvrit des tulipes en fleurs et qu’il fit l’acquisition de bulbes qu’il offrit ensuite aux jardins impériaux à Vienne.
Probablement originaire d’Anatolie, la tulipe était déjà à l’honneur du temps de Soliman le Magnifique. Chaque année, au printemps, une somptueuse fête était organisée dans les jardins du palais en l’honneur de la tulipe, fleur préférée du sultan. La tulipe doit son nom au mot turc tülbend (turban) auquel la fleur ressemble.
Le savant botaniste Charles de Lescluse (Arras 1526-Leyde 1609) fut médecin du roi Ferdinand et s’occupa des jardins impériaux à Vienne de 1573 à 1592. Il y rencontra donc la tulipe et succomba aux charmes de cette belle fleur. Il en constitua une collection. Lorsque de Lescluse fut nommé à la chaire de botanique de Leyde, il quitta Vienne et emmena sa collection de tulipes avec lui en Hollande.
Quelques années plus tard, au siècle suivant, une véritable tulipomania s’empara des amateurs de plantes et donna lieu à des spéculations financières. La tulipe était devenue un symbole de richesse. Un bulbe valait parfois le prix d’une maison à Amsterdam ou la dot d’une jeune fille. La tulipe fit et défit des fortunes. En 1637, le gouvernement intervint par une loi pour interdire ces folles transactions. La tulipomania gagna les pays voisins et en France le moraliste La Bruyère (1645-1696) décrivit l’amateur de tulipes dans ses « Caractères ». Dès le début du XVIIe siècle, beaucoup de tulipes apparurent dans les tableaux de fleurs ainsi que dans les célèbres carreaux de faiënce de Delft ornés en bleu de cobalt sur fond blanc. Mais cet engouement pour les tulipes s’affaiblit dès la fin du siècle.
Durant ce temps, les horticulteurs en propagèrent la culture et les variétés ; l’oignon se faisant moins rare, les prix devinrent moins chers…
Mais comment parler de fleurs sans un peu de poésie........
La tulipe
Moi, je suis la tulipe, une fleur de Hollande;
Et telle est ma beauté, que l'avare Flamant
Paye un de mes oignons plus cher qu'un diamant,
Si mes fonds sont bien purs, si je suis droite et grande.Mon air est féodal, et, comme une Yolande
Dans sa jupe à longs plis étoffée amplement,
Je porte des blasons peints sur mon vêtement,
Gueule fascé d'argent, or avec pourpre en bande.Le jardinier divin a filé de ses doigts
Les rayons du soleil et la pourpre des rois
Pour me faire une robe à trame douce et fine.Nulle fleur du jardin n'égale ma splendeur,
Mais la nature, hélas! n'a pas versé d'odeur
Dans mon calice fait comme un vase de Chine.Théophile Gautier
La photo du jour :
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Par Singer le 22 Mars 2013 à 12:14
Bien qu'officiel depuis la veille, c'était vraiment ce jour le printemps. Une température tutoyant allégrement les 20°, un ciel clair, et nous voici donc à Lit, sur un circuit tout nouveau élaboré par notre ami Hubert que son coeur amène fréquemment en ces lieux.
Tracé préparé de longue date, mais que le méticuleux Hubert a pris soin, le matin même encore, d'aller vérifier si rien n'aller entraver son bon déroulement.(pousses d'ajoncs et de ronces)
Ce parcours de 10km (sans la TVA) était très agréable, vallonné sans trop, terrain dunaire oblige, traversant de superbes parcelles de pins particulièrement bien entretenus (chose rare)
et d'immenses coupes rases. C'est dans une de ces coupes, que Monique a essayé de prendre son envol par une magnifique chute, la seule racine qu'Hubert avait oublié. Malheureusement comme elle ne m'avait pas prévenu vous n'aurez que le cliché de l'athlète se relevant
Nous étions 38, ce qui dans la traversée des coupes donnait une colonne s'étirant sur plus de 500m.
Puis à 2/3 du parcours, changement de paysage, nous voici enfoncé dans la forêt profonde, cheminant tout en haut d'impressionnants talwegs, sur une étroite piste pavée de pierre et de béton ...
que Bernard suppose être la piste des résiniers. N'ayant pas eu confirmation de cela, nous nous sommes résignés à la considérer comme telle.
De l'un de ces sommets on peut apercevoir au lointain l'église et la Mairie de LIT.
Mais lorsque l'on est en haut faut redescendre, pente très sableuse et abrupte susceptible de provoquer des chutes, que d'aucuns attendent peut être, c'est vrai que c'est plus marrant
De retour au centre de Lit, Hubert nous fit bifurquer sur la gauche et nous voici sur une terrasse où nous attend Evelyne, avec force pâtisseries et boissons diverses, qui avait abrégé son parcours pour nous réserver cette surprise. Reconnaissons qu'en fin de rando ça fait quand même du bien, mais que l'internaute extérieur à l'asso ne se méprenne pas, ce n'est que le petit plus qui rend, entr'autres, notre asso unique.
Compte tenu de la qualité du parcours et de celle de la réception, nous les avons élus "Super couple du jour"
La photo de la semaine :
Depuis le début de notre ére, notre beau pays a été traversé par des hordes barbares et soumis à d'incessants flux migratoires.
Cependant, il reste encore des descendants des Gaulois. Nous en avons retrouvé un, compte tenu de la couleur de ses cheveux nous ne sommes pas sûrs qu'il soit de pure race ...
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Par Téner le 15 Mars 2013 à 12:43
Circuit de 11 km au départ de Vielle qui a la particularité de nous faire passer prés de trois moulins. Le premier, au quartier de Pelle, est un moulin-scierie encore en état de fonctionnement. Il ne peut être visité qu'avec l'autorisation des propriétaires trés souvent absents. Pour le voir, il faut quitter le circuit pour gagner le quartier de Pelle où il se trouve. Donc nous ne l'avons pas vu. Un peu plus loin nous passons prés du moulin de Binaou. Beau moulin parfaitement restauré dont l’environnement a été végétalisé pour un faire un site très agréable. Malheureusement, les propriétaires qui souhaitent préserver leur tranquillité n'en autorise pas l’accès. Nous ne l'avons pas vu non plus. En passant prés du troisième moulin, celui de Loupsat, nous n'avons vu que le ruisseau qui l'alimente et le lavoir situé prés de la route.
Point de moulin mais de beaux chemins, qui traversent des parcelles de très beaux pins, ce qui n'est plus monnaie courante dans la forêt landaise.
De grands espaces dénudés, sans le moindre arbrisseau, recouverts par l'herbe jaune et où le vent du nord s'engouffre, nous cingle le visage et nous rappelle que l'hiver n'est pas terminé.
Au milieu d'un de ces espaces dénudés, un totem ! Rien de cela. Il s'agit simplement d'un arbre cassé sur lequel a été posé un rondin. Peut-être l’œuvre d'un bûcheron artiste.
De belles rencontres aussi avec cette jument et son très jeune poulain qui prit soin très vite de mettre son rejeton à l'abri en s'éloignant rapidement de la clôture, à l'arrivée de notre groupe. Il y a eu aussi ces moutons noirs curieux qui venaient voir qui se trouvait de l'autre côté de la barrière.
Pour cette rando, Bernard et Danièle étaient venus avec leurs petits enfants Arthur et Clovis et Monique était accompagnée de sa fille Sophie et de sa petite fille Laurine. Une présence bien rafraichissante qui faisait remonter vers les minimas la moyenne d'âge du groupe.
Un peu de poésie (Extrait d'un poème de Gilles Vigneault)
"Un moulin tourne au grès de l'eau. Sa voix est vieille
Et se perd dans le bruit des cascades tout prés
D'un pont qui les traverse et paraît fait exprès
Pour que le voyageur tende l'oreille."
Et pour conclure à la manière de Louis Jouvet " Moulin.... vous avez dit moulin....."
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Par Téner le 10 Mars 2013 à 13:15
Jusqu'au XVIIIème siècle, Houas devait être un quartier important de Castets puisqu'on y avait construit une chapelle. C'est au lieu-dit "la Capère" que fut édifiée cette chapelle dédiée à Saint-Pierre, prés de la source du même nom. On prétend qu'elle fut l'antique église paroissiale où on allait à la messe encore jusqu'au début du XVIIIème siècle. Elle fut détruite par un incendie en 1775 mais elle était a peu prés abandonné depuis 1728.
La source Saint-Pierre existe toujours avec son carré de maçonnerie mais elle difficilement visible car elle disparaît sous une végétation inextricable. Il y a bien longtemps que l'on ne vient plus à la fontaine Saint-Pierre. Le quartier a bien changé, la modernisation et le confort des habitations font que les sources ne sont plus d'un intérêt vital. L'homme s'étant éloigné des lieux, la végétation a envahi la place, faisant disparaitre la source sous un épais tapis d'herbes, de taillis et de ronces.
Pourquoi la source Saint-Pierre? Tout simplement parce que lorsque nos randonnées nous amenaient à passer par Houas, nous parlions de cette source, petit bout du patrimoine communal, et nous nous disions qu'il serait bien qu'un jour on vienne la dégager pour la rendre plus accessible et permettre à d'autres d'y revenir.
En ce 5 mars, météo favorable, nous étions 4 volontaires, guidés par Claire qui savait exactement où jaillissait la source, à nous rendre sur place armés du matériel nécessaire au débroussaillage.
Une demi journée plus tard, fourbus, griffés par les ronces, maculés de boue et trempés de sueur, nous sommes heureux, la source Saint-Pierre est à nouveau visible et accessible. Il faudra y revenir lorsque l'herbe aura repoussé pour peaufiner le travail.
Elle sera signalée, des panneaux sont en cours de réalisation.
* * * * *
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Par Singer le 8 Mars 2013 à 18:49
Nous marchons à Léon, entends je ! à Léon ou chez léon? non c'est bien à Léon.
Mais qui diable a t'il bien pu donner un prénom à un village?. Devant une question aussi angoissante, j'ai voulu savoir.
Et je n'ai pas appris grand chose, si ce n'est que le village s'appelait Loun avant l'arrivée au pouvoir d'Henri IV qui l'a transformé en Léon, léon, leonis en latin dérivé de leo signifiant lion.
Nous voici donc 25 sur ce nouveau parcours du Conseil Général long de 14km700.
Parcours ennuyeux, les immenses coupes de pins laissant sur le sol des branchages désséchés offrent un aspect pitroyable, heureusement de ci de là , le jaune des ajoncs apporte un peu de lumière.
Au bout d'un km, le genou de Monique Ga a laché l'obligeant à rebrousser chemin.
Compte tenue de la longueur du parcours, au bout de 6 km, le groupe s'est scindé en 2 parties. La deuxième, composée des accidentés de la vie (convalescents, grippés et fatigués chroniques) a parcoutu 10 km.
Dixième km qui devenait le point de jonction des deux parties, et où nous attendait une surprise.
Chez Charlie, ci-dessous à gauche de notre Président préféré,
qui avec son épouse participe à notre voyage annuel, nous attendait une grande corbeille de marveilles.
Voila une sortie que je qualifierais d'adaptative et intelligente avec ce point de régénération
Deux nouveaux adhérents, Frédérique et Henri qui, alors que d'autres ont "plusieurs cordes à leur arc", ont plusieurs cordes à leur violon. Violonistes connus et reconnus, anciens piliers des Archets de l'Adour.
Résidant à Castets, ils viennent de créer "A portée de cordes" un quatuor de violons et violoncelles, qui se produira sûrement dans notre village prochainement.
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Par Téner le 2 Mars 2013 à 13:36
Sur la carte, le circuit de ONESSE ET LAHARIE dessine comme une énorme cucurbitacée au centre de laquelle descend le ruisseau "Le Coulin".
La première partie de la rando se fait sur la rive est du ruisseau et le retour en longeant la rive ouest.
Des bons chemins quelques fois encombrés par des chutes d'arbres fragilisés, terrassés par les derniers évènements météorologiques. Quelques beaux paysages aussi lorsque l'on s'approche des berges du ruisseau.
Il faisait beau, un ciel tout bleu, dans la forêt il faisait bon, mais voila, il nous fallait traverser de grandes zones sans arbres où s’engouffrait un vent du Nord-Est glacial qui nous griffait le visage.
Un circuit sympathique mais sans prétention. Nous étions 29 pour faire les 13 km de cette balade.
Un peu de culture. Comment s'appellent les habitants d'Onesse et Laharie : Les Onessois
Pourquoi Onesse et Laharie? . Pour ce qui est de ONESSE, cela ne présente guère de difficulté aux historiens et spécialistes de l'occitan de Gascogne pour le rétablir en AUNESSA, ce qui signifie une hauteur, une élévation de terrain.
En ce qui concerne LAHARIE cela a été un peu plus compliqué, puisque ce lieu s'est appelé au cours de l'histoire "Harie" "Laharie" - " La Harie". René CUZACQ agrégé de l'université et auteur de l'opuscule " Origine des noms de lieux des communes Landaises" nous indique que La Harie peut-être la farine du moulin " La Haria" qui se prononce La harie en gascon.
L'existence d'un ou plusieurs moulins à farine pourrait être à l'origine du nom de ce village.
Admirez la "incredible attitude" de Corinne ! quel exemple pour les jeunes générations !
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Par Singer le 22 Février 2013 à 18:07
Aujourd'hui deux objectifs: le premier c'est CASTETS, nous n'allons pas faire du sur place, mais un petit circuit, donc raccourci par rapport à l'habitude pour pouvoir faire face au second objectif.
Alors c'est vrai, l'aspect de notre village est à l'image de l'être humain, on y voie le meilleur et le pire. Somme toute, compte tenu du relief particulier, vallons et rivières, et des dernières réalisations, le périple est assez agréable, nous amenant à quitter routes et chemins pour retrouver une des particularités du terrain alentour ...
et toujours des chemins inondés.
Puis se profile le second objectif, que personne n'a, bien entendu, perdu de vue, le chemin peut être oui !
Heureusement jany veille sur ses troupes ...
Le second, c'est donc la dégustation de crépes et beignets, arrosé de cidre ou de vin blanc.
Rendons hommage une nouvelle fois à ces dames qui travaillent dans l'ombre, à la lumière toutefois, pour confectionner ces délicieuses pâtisseries.
D'aucuns pourront objecter que cela alourdit nos silhouettes et épaissit notre tour de taille, mais le compromis effort réconfort du parchemineur donne un équilibre à tout cela.
C'est donc dans la joie, la bonne humeur et les éclats de rire que se termine ce genre de sortie.
* * * * * * *
Dans notre beau pays, majoritairement chrétien, tout le monde connait les dix commandements de Dieu, plus ou moins suivis semble t'il.
Au XXI ème siècle, Dieu a ordonné 20 nouveaux commandements et les 20 ont été exécutés ! mais ce n'est pas un miracle !
Les connaissez vous? peut être pas!
Dieu ordonna à David de guetter et ... David guetta
Dieu ordonna à Hélène de s'égarer et ... Hélène Ségara
Dieu ordonna à Thierry d'en rire et ... Thierry Henry
Dieu ordonna à Fatou de mater et .... Fatou Matta
Dieu ordonna à Bruce de lire et ... Bruce Lee
Dieu ordonna au coca de coller et ... le Coca Cola
Dieu ordonna à Mouss de taffer et ... Moustafa
Dieu ordonna à Carla Sarkozy de bronzer et ... Carla Bruni
Dieu ordonna à un castor de ramer et ... Castorama
Dieu ordonna à Katy de mourir et ... Katy Perry
Dieu ordonna à Mara de donner et ... Maradonna
Dieu ordonna au chaud de coller et ... le chocolat
Dieu ordonna au petit de lire et ... le petit Lu
Dieu ordonna à Lustu de croire et ... Lustucru
Dieu ordonna que le riz colle et ... le Ricola
Dieu ordonna à Jack de sonner à la porte et depuis ... Jackson
Dieu ordonna à Hugo de bosser et ... Hugo Boss
Dieu ordonna à Rex de sonner et ... Rexona
et Dieu sema le blé et Marc Lavoine
En 1903 Dieu interdit aux gendarmes d'être triste et depuis ... la gendarmerie
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Par Téner le 14 Février 2013 à 22:02
Même quand le temps n'y est pas, le tour du lac d'Hossegor reste d'une étonnante beauté.
Aujourd'hui c'était marée basse, gros coefficient et c'est un lac presque totalement vide qui s'offrait à nous. Impressionnant, presque plus d'eau, les parcs à huitres totalement découverts.
Quelques cormorans impassibles, comme échoués sur les bancs de sable, attendaient que la marée remonte pour reprendre leurs plongées, en de longues apnées de chasse sous-marine.
Quelqu'un me disait, on pourrait faire la traversée à pied tellement le lac est vide..
La mer s'était calmée et sur la jetée les pêcheurs avaient repris leurs places. Les bateaux reprenaient le chenal en direction du large. Les marins répondaient-ils à l'appel de la mer ou tout simplement au besoin de gagner leur vie et satisfaire l'insatiable appétit des consommateurs friands de poissons frais. Les deux sûrement....
Comme il ne faisait pas trop froid nous avons eu envie d'aller jusqu'au bout de la jetée. Combien d'entre nous ont du se dire qu'il ne devait pas être bon se trouver là au plus fort de la tempête.
Etait ce à cela que pensait ce promeneur immobile au pied de la statue de la vierge et qui semblait implorer sa protection pour les gens de mer?
Les déchets laissés sur le sable nous montraient combien la mer s'était déchainée ces derniers jours projetant ses vagues furieuses très loin sur les berges.
Dans les rues des quartiers situés entre lac et mer les mimosas sont en fleurs. Gracieux bouquets de soleil qui embaument l'atmosphère et enchantent le regard.
Le retour sur les bords du lac, coté ouest, la plage blanche sur fond or des mimosas en fleurs est déserte, puis c'est le défilé des magnifiques demeures du bord du lac.
La magie c'est que cette balade offre des spectacles dont on ne se lasse pas.
Juste parce que nous avons l'habitude de le dire: nous étions 27 pour cette sortie fleurie.
Et s'il n'en reste qu'un, ce sera celui là !
* * * * * * *
Joëlle commence une partie de golf.
Elle frappe sa balle et voit celle-ci heurter un homme qui joue son parcours pas loin d'elle.
Elle le voit mettre immédiatement ses mains serrées entre ses deux jambes et tomber au sol.
Elle se presse d'aller le voir.
Il est tordu de douleur au sol dans la position foetale.
Elle lui demande pardon et lui explique ensuite qu'elle est physiothérapeute et qu'elle sait qu'elle pourrait diminuer sa douleur s'il la laissait faire.
Oaouooh....Nnooon...Non... Ce n'est pas nécessaire, tout va aller pour le mieux tout à l'heure, dit-il avec le souffle court.
Mais elle insiste pour lui faire un traitement et finalement il se laisse faire, elle lui enlève les mains d'entre les jambes, ouvre son pantalon et place ses mains à l'intérieur en le massant délicatement...
Après quelques minutes, elle lui demande :
Comment vous sentez-vous ?'
Ça fait du bien, mais j'ai toujours mal au pouce!'...
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Par Téner le 8 Février 2013 à 10:05
Dans une semaine d'un temps exécrable, nous avons encore eu, en ce jeudi, une fenêtre de beau temps comme dise les navigateurs.
Toujours est-il que nous étions 26 à nous lancer sur ce très agréable circuit de 11 km qui nous fait faire le tour du village d'Azur. Sur le parcours nous avons pu voir un ancien lavoir très bien restauré.
Dans un enclos un jeune ânon qui voulait jouer " A dada sur mon baudet" avec sa "maman",
faire une halte au" Pont du Loup" et admirer les villas de style moderne plus belles les unes que les autres au quartier Peyroux.
Si le ciel a été clément et nous a permis de faire notre randonnée sans la moindre goutte d'eau, il n'en était pas de même pour les chemins que les pluies incessantes de ces derniers jours avaient rendus très spongieux par endroits et avaient laissé d'énormes flaques qui compliquaient un peu la progression et ne facilitaient pas la marche de ceux qui n'avaient pas opté pour des chaussures étanches.
* * * * * *
Il y a quelques années, sur France 2, vous avez pu suivre l'émission:"Alain Decaux raconte". Ce formidable conteur nous a fait partager avec passion et quel talent, l'histoire de notre beau pays.
En Parcheminie nous avons également un conteur, il se trouve le plus souvent en queue du groupe avec les agitateurs d'idées.
Chaque jeudi, il raconte une nouvelle histoire, mais peu l'entende, d'où l'idée de la partager ici.
Evidemment elles ne sont pas toutes publiables et donc vous ne trouverez cette rubrique qu'aléatoirement !
Elle s'intitule :
" La différence entre les besoins sexuels d'un homme et les désirs d'une femme m'a toujours sidéré.
Au lit, l'autre soir avec ma femme, la température montait rapidement.
Au moment de passer aux choses sérieuses, elle m'arrêta et me dit : "Non, mon amour, je ne me sens pas bien..."
Puis elle ajouta : "Je n'ai pas spécialement envie, je voudrais juste que tu me tiennes dans tes bras. Tu n'es pas assez en phase avec mes besoins émotionnels de femme pour que j'aie envie de satisfaire tes besoins sexuels d'homme !"
À mon regard ébahi, elle enchaîna : "Je voudrais que tu m'aimes pour ce que je suis et non pour ce que je fais pour toi au lit."
Comprenant que rien ne se passerait ce soir-là, je n'insistai pas et je m'endormis. Quelque temps après, comme j'avais des congés à récupérer, je décidai de passer une belle journée avec elle.
Après un dîner dans un petit restaurant sympa, je l'emmenai dans un grand magasin de mode où je l'invitai à essayer divers vêtements sous mon regard intéressé.
Pendant un long moment, elle essaya tout ce qui tombait sous ses yeux et parada devant moi comme une star.
Finalement, deux robes retinrent spécialement son attention. Comme elle ne savait pas se décider, je lui laissai entendre qu'elle prendrait bien les deux.
A l'étage suivant se trouvait le rayon des chaussures. Une paire neuve par robe semblait indispensable. Une jolie paire de boucles d'oreilles lui faisait de l'œil, hop, dans le panier!
Croyez-moi, ses yeux brillaient de plus en plus!!!
Je la connais, je voyais monter en elle une forme d'excitation indescriptible.
Elle voulut même me tester, voir jusqu'où j'irais, car elle s'intéressa aux bracelets de style tennis.... Je répondis oui.
Puis il y eut quelques paires de bas, de la lingerie, un foulard, les rayons parfum et maquillage et quelques bricoles.
Finalement, elle me regarda avec des yeux pétillants comme du champagne et dit : "Ça va être cher tout ça, on passe à la caisse quand?"
Je répondis : "Non, mon amour, je ne me sens pas bien..."
Son visage devint béat d'étonnement et sa bouche resta ouverte.
Je lui dis alors : "Je n'ai pas spécialement envie, je voulais simplement te voir habillée ainsi. Tu n'es pas assez en phase avec mes capacités financières d'homme pour que je puisse satisfaire tes désirs d'achats de femme."
Et comme elle me regardait avec des yeux assassins, j'ajoutai : "Je voudrais que tu m'aimes pour ce que je suis et non pour ce que je t'achète! "
A défaut d’orgasme, putain, que ça m’a fait du bien."
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Par Singer le 1 Février 2013 à 12:47
La sérénité nous l'avions dès le départ, mais il est vrai qu'en passant devant cet endroit isolé de tout, dont la maison se nomme "la sérénité", et dont le paysage vallonné, avec ce charmant petit ruisseau, est propre à retrouver ce sentiment.
Cette promenade démarrant sous un fin crachin s'est terminée de même, la majorité du temps il faisait très doux incitant les moins frileux à se découvrir. Nous étions 27, et il se vérifie qu'à chaque sortie, quelque soit le temps, le nombre de participants est en hausse sensible par rapport aux années précédentes.
Le départ, par cette route qui longe la piste cyclable et borde un quartier très agréable, nous permet de voir de belles demeures dont cette maison typiquement Landaise, restaurée certes, mais dont l'ossature bois date certainement d'un bon siècle.
* * * * * *
A l'instar de JPS pour Taller, notre amie Myriam, néo-Linxoise, pour nos internautes de langue Espagnole et pour tous les amoureux de la langue de Cervantes nous parle de LINXE !
" Parece ser que tengo que hablar de Linxe ¿Qué puedo decir?
Linxe es un pueblo francés situado en las Landas tranquilo y agradable de vivir. Hay dos teorías para explicar el origen del nombre de Linxe. La primera sería que Linxe proviene del nombre científico “Linsa” que significa hierba de los pantanos y la segunda viene de “Lino” debido a los tejedores. Escogéis la que mas os guste.
¿Qué puedes encontrar en Linxe? Tenemos una iglesia fortificada, una sala de fiestas, un colegio, el rugby y cuatro riachuelos: le Loupsat, le Binaou, le Lasalle y le Caouelette.
¿Qué se puede hacer? Como en todo pueblo landes hay el torneo de belote, le loto, el rugby y los paseos por los bosques y circuitos de bicicleta. La vida nocturna de Linxe no es tan agitada como en España. Puedes encontrar un poco de “movida” en el “Hotel du Centre” o en “Les deux ânes” pero… sólo durante las fiestas patronales a mediados de noviembre."
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Par Singer le 24 Janvier 2013 à 19:45
C'est par un temps incertain que 23 parchemineurs ont pris la route pour se rendre à Saint-Girons bourg, au pied de l'église départ de notre parcours.
Incidemment je posais la question: Girons pourquoi, et sanctifié par qui?. Personne ne m'ayant donné la réponse, j'ai cherché et j'en profite une nouvelle fois pour enrichir notre culture.
Peu de réponses, toutefois de Saint il n'y en a point, girons étant le nom du bourg depuis son origine. Bourg qui fut relié à celui de Vielle pour donner entre 1790 et 1794 le village de VIELLE SAINT GIRONS. Quant à l'adjectif saint il est à prendre, sûrement, dans le sens de sanctuaire, donc inviolable. Saint-Girons était au XIII ème siècle une sauveté.
Ce parcours très vallonné, normalement puisqu'il ne s'agit ni plus ni moins que du prolongement dunaire, est assez sportif de part la répétition permanente des montées et descentes.
A l'arrière où se trouve toujours un groupe d'agitateurs d'idées, d'aucuns ont suggérés de faire le parcours dans l'autre sens !
Des nuages nous avons eu, succédant à des averses, et des périodes ensoleillées donnant avec les déclivités du terrain et le fleurissement précoce des ajoncs, une impression de variété permanente.
Nous avons trouvé qu'ils allaient très bien ensemble ... alors nous les avons élus ...
Le couple de la semaine:
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Par Téner le 18 Janvier 2013 à 22:01
Un début de semaine qui commençait mal. Un ciel gris et bas, une pluie fine et glacée.Tout cela ne laissait présager rien de bon pour jeudi. Hé bien non ! Jeudi a été la seule belle journée de la semaine. Un soleil radieux, un ciel dégagé et même s'il faisait un peu "friscounet" c'était un temps idéal pour une belle balade.
Nombreux étaient ceux qui avaient envie de se dégourdir les jambes et de chasser la grisaille des ces derniers jours en profitant des rayons bienfaisants du soleil. En effet nous étions 39 au départ de cette rando, prés du kiosque à LESPERON.
Un agréable circuit qui par une double boucle autour du village nous amène à la source Saint-Jean dont l'eau aurait la particularité de soigner les maladies de peau. Mais voilà, pour approcher cette source aux vertus thérapeutiques il ne faut savoir garder son équilibre sur les planches très glissantes de l'allée qui y mène. Et bien sûr il y eu chute. Heureusement sans gravité.
Le retour vers la village, le long du ruisseau du bourg, dans une forêt de feuillus offre de beaux paysages.
La surprise se situe à l'arrivée à Lesperon. Une magnifique bambouseraie qu'il faut traverser pour rejoindre le village. Un petit air d'exotisme, la chaleur en moins.
Les dieux de la marche étaient encore avec nous. Espérons qu'ils recommenceront tous les jeudis.
La photo de la semaine :
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Par Singer le 11 Janvier 2013 à 12:44
Voila le genre de sortie apprécié par les parchemineurs, une rando un peu raccourci, 8km pour ce jour et la dégustation de galettes des rois ensuite.
Nous étions largement plus de 30 ! alors l'ajout de dégustation de pâtisseries, avec en plus ce jour un bon vin chaud, facteur incitatif ? la question reste posée !
Ce parcours nous conduisait à Billaranque, et retour après Pascouaou par un chemin longeant la route menant à Uza.
Depuis quelque temps le départ est assez rapide, et au bout d'un km certains avaient déjà vu le bout du tunnel !
D'un temps légèrement incertain, nous sommes passés à un chaud soleil incitant à se dévêtir, lors de la première halte sur le pont de notre nouvelle autoroute ...
malheureusement d'assez courte durée, le vent s'est levé, le ciel s'est assombri sur l'ouest, une légère bruine a commencé à tomber et s'est intensifié jusqu'à notre arrivée à la grange du Barrat.
Il faut signaler que nous prenons toutes les garanties pour assurer la sécurité maximum à nos marcheurs. Lors des traversées de route, Jany règle la circulation avec ses feux tricolores portatifs ...
Enfin à l'abri nous avons pu goûter à ces galettes, et nous réchauffer de ce délicieux vin chaud dont Gégée garde jalousement le secret.
La galette ayant rendu son verdict, c'est donc Francis qui sera notre nouveau Roi ! d'aucun prétend qu'il s'agit de la réincarnation de Louis XI, sans les lunettes et la moustache peut être !
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Par Singer le 3 Janvier 2013 à 18:51
Le diaporama du dernier trimestre 2012 vous attend dans votre Diapothèque.
Il s'intitule : L'automne par tous les temps
Bon surf !
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Par Singer le 27 Décembre 2012 à 20:05
NOUVEAU
Une nouvelle page vient enrichir notre site. Elle se trouve dans la rubrique " Marcher, mais pas que ...".
C'est "VOYAGE ...VOYAGES". Elle est destinée à ceux qui souhaitent partager leurs souvenirs de vacances par un diaporama ou une vidéo.
Nadine et Jean-pierre rentrent de la Réunion et Rodrigues, ils inaugurent et vous proposent donc de partager leur périple.
Vous désirez suivre leur exemple ... n'hésitez pas à me contacter !
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Par Téner le 20 Décembre 2012 à 20:32
la fin du monde.
Nous étions 21 pour cette balade, très certainement la dernière de notre existence si l'on en croit les prédictions de certains "ésotérospécialistes" de l'histoire précolombienne qui nous prévoient l'Apocalypse pour demain. Nous verrons bien......
Peut-être allons nous nous perdre dans l'espace-temps intersidéral et être engloutis dans un gigantesque trou noir indétectable par nos satellites, télescopes et radars les plus sophistiqués
En attendant il faisait beau et doux cet après-midi. Un très joli circuit dont Hubert...
notre guide du jour a la secret et qui permet de rappeler que les Landes ce n'est pas que des pins et des chemins tout plats.
Pour nous mettre en bouche pour les fêtes, les haltes ont été mises à profit pour déguster quelques chocolats.
Sur le chemin du retour nous avons pu ramasser du houx à belles boules rouges pour peaufiner le décor de noël.
C'était la dernière sortie....... de l'année. Je ne vous sentais pas trop effrayés par les mauvaises prédictions dont il vaut mieux rire. Aussi je vous donne rendez-vous le 10 janvier pour la reprise après les vacances scolaires.
Je vous souhaite à toutes et à tous un très joyeux Noël.
Portez-vous bien, soyez sérieux..... mais pas trop!!
* * *
Oh mon Dieu ! mais que font elles?
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Par Singer le 14 Décembre 2012 à 13:13
22 voilà les parchemineurs !
Nous étions donc 22 pour ce retour à Lévignacq, promenade que nous affectionnons pour la variété des sites.
Le rendez-vous était donné sur le grand parking qui jouxte le Vignacq et la belle église aux somptueux décors intérieurs.
Nous en avons profité pour officialiser le titre de "Parchemineuses de l'année". Ci-dessous les heureuses élues...
Tiens si on en profitait pour enrichir notre culture et faire travailler nos bons vieux neurones.
Un peu d'histoire:
Dès l'origine, la paroisse de Lévignacq avait pour patron l'apôtre des Gaules: St-Martin, évêque de Tours.
Lévignacq est sur l'une des voies anciennes, qui traversaient les Landes et qui devinrent «le Chemin de Compostelle».
Certains auteurs y voient l'antique SEGOSA. Mais Ségosa c'est Mimizan. Mais ici, il y avait sans doute une halte. Le clocher est une tour fortifiée.
Mais, plus sûrement, la paroisse a dû être fondée au moment où StMartin, très populaire était honoré dans toutes les campagnes de France. A cette époque, beaucoup de paroisses le prirent pour patron.Toujours est-il qu'au XIVè siècle et jusqu'à la Révolution de 1789, Lévignacq s'appelait: «St-Martin-du-Vignac-en-Born». Comme le Born faisait partie du doyenné des «Boï» (La Teste de Buch, région d'Arcachon), la paroisse relevait également de l'Archidiocèse de Bordeaux.
C'est seulement en 1833 que M. Boucau, notaire et maire de la commune, écrivit pour la première fois, Le Vignac, qui devint ensuite Levignac puis Lévignacq.
Mais au XIVè siécle, l'on disait déjà «Aou Bignac». (Dans les documents,du latin: Aubinhacum, Aubinnaco.) Il s'agit bien là de Lévignacq et non d'Orvignac, quartier de St-Julien, comme on l'a prétendu parfois.Pourquoi ce nom? De toute évidence, parce que sur les côteaux du vallon de Lévignacq, il y avait des vignes. Dans les Registres, nous trouvons à plusieurs reprises, la mention: «fermier de la grande vigne» ou bien «de la petite vigne» ~ et le mot, souvent répété de «vigneron». Il est vrai que cette vigne était située parfois à Uza. Mais jusqu'en 1866, Uza faisait partie de Lévignacq.
Uns chose pittoresque dans ce village est cette route à la sortie est, où d'un côté sont construites des maisons modernes et de l'autre des constructions qui se délabrent, datant du 19ème siècle.
Les années passées nous empruntions un large chemin bordant la route et cette année ce dernier est devenu une piste cyclable reliant le tronçon existant menant au Cap de l'Homy au village voisin de Lesperon.
Surplombant la pisciculture, nous apercevons la forêt parsemée de taches blanches, un petit air de Noël, mais pas de neige, simplement la blanche robe des aigrettes posées sur les branches...
Dans la forêt nous avons croisé une ancienne parchemineuse, pas reconnue sur l'instant! Madame promène son chien ...
Le temps, exempt de pluie au départ, a rapidement fait place à une légère bruine qui s'est intensifiée à notre retour...
Pratiquement à la fin du parcours, j'ai aperçu deux des nôtres en fin de colonne dans un accoutrement bizarre?
Que se passait il?
- Une attaque au gaz
- Un désir d'incognito
- Une simple mauvaise odeur
A l'heure où vous lisez ces lignes, nous n'avons toujours pas la réponse !
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